Texte écrit par Jill :
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Hauteaire était un village situé sur un plateau où le vent soufflait tous les jours. C’est à cause de cette situation que quatre éoliennes avaient été installées qui alimentaient une grande partie de l’électricité des habitations. Mais après quelques années et le changement climatique, le vent faiblit beaucoup et les éoliennes ne tournaient pas tous les jours. L’alimentation d’électricité est devenue faible et aléatoire.
Plusieurs familles commençaient à déménager ailleurs, et le maire avait peur pour la survie de son village. Il décida alors d’organiser une réunion de tous les habitants pour discuter de la situation, ce qui eut lieu un Lundi soir dans la salle communale, et des solutions furent proposées.
Par exemple, reconstruire le village ailleurs, installer des groupes électrogènes en permanence, investir des sommes considérables dans un nouveau réseau d’électricité.
Foliette, une femme avec une allure d’une sorcière, qui portait toujours une longue robe vaporeuse et un cigare entre les dents, se leva et annonça qu’elle avait une solution : « Les jours sans vent, j’appelle les villageois par les hauts parleurs de la mairie pour qu’ils prennent leurs foehns, les ouvrent au maximum en les pointant vers les éoliennes ». Tout le monde a éclaté de rire ! «Comment nos petits foehns pourront-ils faire tourner nos grandes éoliennes ? », demanda le maire. Foliette répondit «J’ai des pouvoirs extraordinaires qui peuvent leur donner la force du vent ! ».
Monsieur le maire dit alors : «La prochaine fois que le vent ne souffle pas, je vous donne la permission d’utiliser les hauts parleurs du village pour faire l’expérience, mais une seule fois ! ».
Tout le monde continuait à rire, mais en même temps, on accepta de tenter l’expérience.
Le Mercredi suivant, le vent étant tombé, Foliette alla à la mairie et hurla dans les hauts parleurs :
«Aux foehns, citoyens !».
Tous les habitants ouvrirent leurs fenêtres et pointèrent leur foehn en direction des éoliennes. Oh mIracle, miracle, elles commencèrent à tourner. Mais il y avait quelques couacs comme par exemple Madame Petit pointant son foehn vers elle, ce qui fit décoller sa perruque, ou Madame Poireau en colère contre son mari, pointant le sien vers lui qui disparut par la fenêtre opposée.
Le vent des foehns insufflait une fragrance de shampooing partout dans le village et sa force était si importante que même à l’arrêt les éoliennes continuaient de tourner à une allure stupéfiante.
Le maire et les villageois décidèrent plus tard de renommer le village hautfoehn.
Bravo Foliette !
Plusieurs familles commençaient à déménager ailleurs, et le maire avait peur pour la survie de son village. Il décida alors d’organiser une réunion de tous les habitants pour discuter de la situation, ce qui eut lieu un Lundi soir dans la salle communale, et des solutions furent proposées.
Par exemple, reconstruire le village ailleurs, installer des groupes électrogènes en permanence, investir des sommes considérables dans un nouveau réseau d’électricité.
Foliette, une femme avec une allure d’une sorcière, qui portait toujours une longue robe vaporeuse et un cigare entre les dents, se leva et annonça qu’elle avait une solution : « Les jours sans vent, j’appelle les villageois par les hauts parleurs de la mairie pour qu’ils prennent leurs foehns, les ouvrent au maximum en les pointant vers les éoliennes ». Tout le monde a éclaté de rire ! «Comment nos petits foehns pourront-ils faire tourner nos grandes éoliennes ? », demanda le maire. Foliette répondit «J’ai des pouvoirs extraordinaires qui peuvent leur donner la force du vent ! ».
Monsieur le maire dit alors : «La prochaine fois que le vent ne souffle pas, je vous donne la permission d’utiliser les hauts parleurs du village pour faire l’expérience, mais une seule fois ! ».
Tout le monde continuait à rire, mais en même temps, on accepta de tenter l’expérience.
Le Mercredi suivant, le vent étant tombé, Foliette alla à la mairie et hurla dans les hauts parleurs :
«Aux foehns, citoyens !».
Tous les habitants ouvrirent leurs fenêtres et pointèrent leur foehn en direction des éoliennes. Oh mIracle, miracle, elles commencèrent à tourner. Mais il y avait quelques couacs comme par exemple Madame Petit pointant son foehn vers elle, ce qui fit décoller sa perruque, ou Madame Poireau en colère contre son mari, pointant le sien vers lui qui disparut par la fenêtre opposée.
Le vent des foehns insufflait une fragrance de shampooing partout dans le village et sa force était si importante que même à l’arrêt les éoliennes continuaient de tourner à une allure stupéfiante.
Le maire et les villageois décidèrent plus tard de renommer le village hautfoehn.
Bravo Foliette !
Jill Gordon 2020-2021